2013_juillet_août

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Plus connu pour ses châteaux, le Loir-et-Cher compte un vaste panorama d’édifices religieux à fresques, depuis l’époque romane, surtout répartis dans la vallée du Loir. La redécouverte des fresques est due en grande partie à Suzanne Trocmé, professeur de dessin au collège de Vendôme, qui inventa les peintures recouvertes d’un badigeon.

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Née au Havre en 1887, elle arrive en 1917 à Vendôme où elle enseigne le dessin aux jeunes filles du collège. Son temps libre se passe en visite d’édifices religieux. Elle découvre, dessine et peint, étudie les fresques murales avec le concours de l’abbé Plat, président de la Société archéologique du Vendômois.  

Sans voiture, logeant chez l’habitant en l’absence d’hôtel, elle dégage les fresques dissimulées sous des badigeons de plâtre, juchée sur une échelle ou des échafaudages instables, allongée ou couchée pour atteindre les œuvres difficiles d’accès et mal éclairées.

Son champ de prospection jusqu’en 1940 englobe les églises situées à proximité de Vendôme telles Villiers, Lunay, Rhodon et Areines. Ensuite, jusqu’en 1964, elle s’aventure au-delà et s’arrête à Saint-Bohaire, Saint-Arnoult, Tourailles, Couddes, etc.

La correspondance avec le docteur Lesueur trahit son investissement, à près de 70 ans, pour la connaissance et la préservation du patrimoine, même au prix de sa santé. Parlant de ses travaux en cours sur l’église de Saint-Arnoult, elle écrit : «  C’est la dixième église dans laquelle je dégage ou j’achève de dégager des peintures, et je pense que c’est déjà un record assez honorable. Je ne sais si j’aurai encore l’occasion ou la possibilité de l’améliorer car les années qui s’accumulent sur moi n’améliorent certes pas mes forces et ma résistance physique pour un travail aussi épuisant ».

Suzanne Trocmé s’éteint en 1971. Ses travaux ont été publiés dans les mémoires des sociétés savantes et dans le Bulletin monumental.Ses relevés sont conservés au Musée des Monuments français, aujourd’hui Cité de l’architecture et du patrimoine du palais de Chaillot.

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Née au Havre en 1887, elle arrive en 1917 à Vendôme où elle enseigne le dessin aux jeunes filles du collège. Son temps libre se passe en visite d’édifices religieux. Elle découvre, dessine et peint, étudie les fresques murales avec le concours de l’abbé Plat, président de la Société archéologique du Vendômois.  

Sans voiture, logeant chez l’habitant en l’absence d’hôtel, elle dégage les fresques dissimulées sous des badigeons de plâtre, juchée sur une échelle ou des échafaudages instables, allongée ou couchée pour atteindre les œuvres difficiles d’accès et mal éclairées.

Son champ de prospection jusqu’en 1940 englobe les églises situées à proximité de Vendôme telles Villiers, Lunay, Rhodon et Areines. Ensuite, jusqu’en 1964, elle s’aventure au-delà et s’arrête à Saint-Bohaire, Saint-Arnoult, Tourailles, Couddes, etc.

La correspondance avec le docteur Lesueur trahit son investissement, à près de 70 ans, pour la connaissance et la préservation du patrimoine, même au prix de sa santé. Parlant de ses travaux en cours sur l’église de Saint-Arnoult, elle écrit : «  C’est la dixième église dans laquelle je dégage ou j’achève de dégager des peintures, et je pense que c’est déjà un record assez honorable. Je ne sais si j’aurai encore l’occasion ou la possibilité de l’améliorer car les années qui s’accumulent sur moi n’améliorent certes pas mes forces et ma résistance physique pour un travail aussi épuisant ».

Suzanne Trocmé s’éteint en 1971. Ses travaux ont été publiés dans les mémoires des sociétés savantes et dans leBulletin monumental.Ses relevés sont conservés au Musée des Monuments français, aujourd’hui Cité de l’architecture et du patrimoine du palais de Chaillot.

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Née au Havre en 1887, elle arrive en 1917 à Vendôme où elle enseigne le dessin aux jeunes filles du collège. Son temps libre se passe en visite d’édifices religieux. Elle découvre, dessine et peint, étudie les fresques murales avec le concours de l’abbé Plat, président de la Société archéologique du Vendômois.  

Sans voiture, logeant chez l’habitant en l’absence d’hôtel, elle dégage les fresques dissimulées sous des badigeons de plâtre, juchée sur une échelle ou des échafaudages instables, allongée ou couchée pour atteindre les œuvres difficiles d’accès et mal éclairées.

Son champ de prospection jusqu’en 1940 englobe les églises situées à proximité de Vendôme telles Villiers, Lunay, Rhodon et Areines. Ensuite, jusqu’en 1964, elle s’aventure au-delà et s’arrête à Saint-Bohaire, Saint-Arnoult, Tourailles, Couddes, etc.

La correspondance avec le docteur Lesueur trahit son investissement, à près de 70 ans, pour la connaissance et la préservation du patrimoine, même au prix de sa santé. Parlant de ses travaux en cours sur l’église de Saint-Arnoult, elle écrit : «  C’est la dixième église dans laquelle je dégage ou j’achève de dégager des peintures, et je pense que c’est déjà un record assez honorable. Je ne sais si j’aurai encore l’occasion ou la possibilité de l’améliorer car les années qui s’accumulent sur moi n’améliorent certes pas mes forces et ma résistance physique pour un travail aussi épuisant ».

Suzanne Trocmé s’éteint en 1971. Ses travaux ont été publiés dans les mémoires des sociétés savantes et dans leBulletin monumental.Ses relevés sont conservés au Musée des Monuments français, aujourd’hui Cité de l’architecture et du patrimoine du palais de Chaillot.

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Au sud du département de Loir-et-Cher se répartissent de part et d’autre du Cher, d’importants vestiges d’époque gallo-romaine, ceux monumentaux et remarquablement conservés des Maselles à Thésée, en rive droite du fleuve, et ceux du fanum et du site de Pouillé sur la rive opposée. Le site qui s’étend sur les deux communes, se situe historiquement au carrefour de plusieurs régions entre les cités des Turons, des Carnutes et des Bituriges qui correspondent aujourd’hui à la Touraine, à l’Orléanais et au Berry. L’ancienneté du site est attestée par la mention de Thésée sous la forme ancienne Tasciacasur une voie romaine de la carte de Peutinger.

Quant à la destination des Maselles, elle peut être multiple. Quelques archéologues ou historiens ont cru y voir une villa (Arcisse de Caumont qui cite les Maselles avec plusieurs gravures dans son Abécédaire ou rudiment d’archéologie, 1870). Une destination à la fois administrative, commerciale, liée à des voies de communication fluviale et terrestre importantes est plus plausible qu’un édifice à usage privé. Peuvent être avancées l’hypothèse d’un relais pour les voyageurs, les chevaux et la poste, jusqu’à une halle de marché et d’entrepôts, siège de justice ou de collecte des impôts.

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Le site des Maselles se situe à gauche sur le plan d’assemblage de la commune de Thésée où est portée la section B du plan cadastral délimitée d’un côté par le Cher.

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Lors de l’embâcle de la Loire de février 1716, treize arches sur les vingt que comportait le pont médiéval de Blois s’effondrèrent. Sur le pont, se trouvaient en effet plusieurs maisons et moulins ainsi qu’une chapelle dédiée à Saint-Fiacre, en plus des tours.

Il fut dans un premier temps décidé de le reconstruire puis d’en bâtir un neuf en amont, l’actuel pont Gabriel. Fait méconnu, les ruines de l’ancien pont subsistèrent pourtant jusqu’au milieu du XIXe siècle. La gêne occasionnée pour la navigation des bateaux conduisit à la destruction complète des vestiges des anciennes piles dont certaines s’élevaient encore à 80 centimètres au dessus du cours de l’eau. Le détail estimatif prévoit avec leur démolition, l’arrachage des pièces de charpente accompagnant les anciennes maçonneries.

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Cette carte postale illustre la notion de temps retrouvé et de communion avec la nature qui précède la loi sur les congés payés de juin 1936, alors que s’impose dès les années 1920 l’idée de vacances payées, déjà instaurées dans de nombreux pays. La vogue du plein air, relayée par les peintres impressionnistes du XIXe siècle, s’est confirmée avec le mouvement hygiéniste développé au XXe siècle.

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Alors que les « congés payés » et la semaine de 40 heures restent un moment clé associé à l’histoire du Front populaire, la presse locale évoque fort peu les accords de Matignon des 7 et 8 juin 1936, si ce n’est par un bilan négatif de ces mesures sociales. En réalité, les congés payés se mettront vraiment en place qu’à l’été 37.

Depuis le début du siècle, les congés payés existent pourtant dans la fonction  publique et les employés en bénéficient en principe aussi. Quant aux ouvriers, si les usines ferment habituellement quelques jours en août, cela a pour conséquence un manque à gagner correspondant au montant des heures chômées.