Créé en 2005, BHAROK a du évoluer pour trouver son identité que l’on connait aujourd’hui, un post-rock puissant teinté de mysticime.

Indéniablement influencés par « Muse » ou encore « The Smashing Pumpkins » leur mécanique flirte avec le rock progressif et le rock noise.

La musicalité reste malgré tout singulière et peut être qualifiée tout simplement de « rock baroque ».

Leurs textes sondent l'âme humaine, invitent à des expériences vaudou ou font voyager à travers des univers parallèles selon les morceaux.

Le groupe est composé de David (chant/basse). Il découvre les « Smashing pumpkins » à l’âge de 16 ans qui vont lui donner goût à la musique. Après s’être essayé à la guitare, il prend des cours de basse et intègre différents groupes aux styles pop / rock pour finalement fonder BHAROK en 2005. Il prend également des cours de coaching vocal pour servir au mieux les morceaux du groupe.

Il possède un style bassistique moderne et utilise de nombreux effets. Sa voix exploite différents registres pour exprimer au mieux les émotions suscitées pas ses textes mystiques.

A la guitare, Adriannov est influencé par les plus grands guitaristes de heavy-Métal (Metallica). Aussi bien rythmique que soliste, le son tranchant de sa guitare aiguise le son du groupe.

A la 2ème guitare, Samuel est arrivé en dernier dans le groupe. Fort d’une expérience de scène et de studio (Hubert-Félix Théfaine, Indochine…), il a su insuffler une dynamique au son du groupe via son influence principale qu’est Joe Satriani. Ses rythmiques nerveuses et ses solos métronomiques agrémentés d’un vibrato complètent parfaitement le son d’ensemble.

A la batterie, Steph, de par son jeu laisse transparaitre en filigrane des influences jazz et métal (Maceo Parker, Skunk Anansie). Très musical, il n’hésite pas à exploiter les mesures et à développer des syncopes pour offrir une dimension supplémentaire aux mélodies.

Au clavier, Stéphane est le lien harmonique qui unit le groupe. Amateur de métal, ses références évoquent des groupes tels que Rammstein ou bien encore Apocalyptica. Ses parties composées aussi bien de nappes épaisses que de mélodies pianistiques apportent une dimension spatiale au son du groupe.