Transcription :

Je conçois sans peine Mon Révérend Père les transports de votre joye, par l’intérêt que je suis bien apeurée que vous prenez et que vous prendrez toujours à ce qui nous regarde.
Nous devons ce Prince si longtems désiré et si désirable en effet aux bontés du ciel, c’est du ciel qu’il faut encore obtenir sa conservation.
Joignez vos prières aux nôtres, et soyez persuadé que c’est la plus grande marque d’attachement que vous puissiez nous donner,
Je l’attens de votre zèle, et je le mérite par l’amitié avec laquelle je suis mon révérent père
Vostre affectionnée

Catherine

A Menars le 13 sept 1729

P. d’Alleman Jésuite.